LA TRANS-HIMALAYENNE 2003
Traversée de l’Himalaya indien
entre Manali (Inde) et Leh (Ladakh)
du 1 au 31 juillet 2003
pour le soutien de la cause tibétaine
"Se résigner, c'est
donner prime à la violence,
c'est tolérer l'intolérable,
se croiser les bras au lieu de
réagir"
Tensin
Gyatso, 14e Dalaï-Lama
è Grand
merci à notre partenaire pour son aide : « LA CITE DU SOLEIL DE RAYMOND
LEGER »
Raymond LEGER s’associe cette année à la démarche culturelle de L’association Trans-Himalayenne pour la défense de la cause tibétaine. Dans
la vallée de la rivière Zanskar, au nord de l’Inde, les gens sont très
pauvres et ne peuvent jamais remplacer
leurs carreaux et vitres cassés. De ce fait, ils souffrent alors fortement du
froid l’hiver.
Il fournit à cette occasion du film technique solaire à titre expérimental
dans l’espoir d’apporter une solution simple et durable
Pour plus d’informationd rendez_vous sur son site : http ://www.lacitedusoleil.com/
Contact :
Association TRANS-HIMALAYENNE
Mr Benjamin LISAN
16, rue de la Fontaine du But - 75018 PARIS
tél : 01.42.62.49.65 / 06.16.55.09.84
e-mail : benjamin.lisan@free.fr
Sommaire
1
Buts généraux et pratiques de la marche
3
L’association Trans-Himalayenne
9
Collaborer / aider ce projet
__________________________________________________________
1 – Buts généraux de la marche
Les milliers de témoignages sur la
situation passée et actuelle du Tibet ne peuvent que nous attrister ou nous
bouleverser. On découvre que ce qui se passe au Tibet est bien pire que ce qui
s’est passé au Timor Oriental, et ce malgré la chape de silence que la Chine
tente d’imposer sur le Tibet depuis son invasion en 1950.
Peut-on
laisser disparaître une culture, dont le message principal est celui
de la non-violence ? Peut-on accepter la transformation du Tibet en colonie
chinoise, au détriment d'un peuple installé depuis plus de 1000 ans ?
Comment tolérer la disparition, par la violence, d’1/6 de ce peuple entre 1950
et l’an 2000, sans aucune réaction internationale ? Non, nous ne pouvons nous y
résigner, même si les Cassandre affirment que le Tibet est une cause perdue.
C'est pourquoi nous avons imaginé une
marche coup de cœur pour un peuple martyr.
La Transalpine
tibétaine 2000 et Transhimalayenne 2002 :
Participant à la Transalpine Tibétaine de l’été 2000, nous avons été plusieurs à
vouloir renouveler cette expérience en 2002 dans l’Himalaya. Cette marche 2002
a traversé l’ancien royaume du Ladakh,
au nord de l’Inde.
La Transhimalayenne
2002 était un message fort à l'attention du Monde et de la Communauté
Tibétaine, un geste désintéressé, un véritable don de soi pour les autres, par
une marche, sur le modèle d'un pèlerinage, où symboliquement les occidentaux
partagent les souffrances des Tibétains sur les chemins de l'exil.
Elle a témoigné et a interpellé les
médias sur la situation des droits de l'homme au Tibet, la disparition des
écosystèmes et de la faune de cette région, la destruction d’un patrimoine
millénaire, le pillage des richesses religieuses et minérales.
La
Transhimalayenne 2003 :
La Trans-Himalayenne
Tibétaine 2003 partira vers 5
juillet 2003 de Manali, fera la grande traversée du Zanskar, de Darsha à
lamayuru, pour arriver vers le 25
juillet à Leh. Elle ira à la rencontre des zanskaries.
La marche est laïque
et ne sert pas à la promotion du bouddhisme ou d’une quelconque religion. Elle
défend des valeurs républicaines (droit de l’homme, droit des peuples à
disposer d’eux-mêmes), des idées de solidarité entre les hommes, de soutien à
toute culture pacifique et respectueuse des autres, de défense des écosystèmes
en danger.
Le but de cette marche n’est
pas de battre des records. Au contraire, elle se veut un lieu de rencontre, d’échange entre les marcheurs et les
populations rencontrées sur notre trajet.
Elle est
ouverte à des personnes de toute religion, de toute "couleur", de
toute culture, motivées pour la cause de
la Paix, prêtes à affronter les éléments naturels (climat, paysages
escarpés), ayant l’esprit de solidarité, acceptant les règles de vie, d’hygiène
et les conditions géopolitiques du pays et des régions traversés.
Elle
renouvellera l’expérience de fraternité de la Transalpine Tibétaine et
de la Transhimalayenne 2002.
Elle
témoignera de l’amitié et de la solidarité des marcheurs occidentaux avec les
Tibétains. Ceux-ci, dont le nombre sera limité à 20 pour des raisons de
sécurité, seront encadrés par plusieurs guides locaux.
Cette
année la marche sera plu courte : la grande traversée du Zanskar se fera
en une vingtaine de jours.
Nous cherchons à pérenniser l’événement de la
Transhimalayenne, en changeant chaque
année de trajets mais en conservant d’une année à l’autre, le concept d’une
rencontre avec les Tibétains, d’une marche avec les Tibétains.
Les buts pratiques
1) Aller à la rencontre des Tibétains
Apprendre leur culture et leurs traditions, leurs habitudes et coutumes pour
mieux les comprendre.
2) Apporter notre soutien moral aux Tibétains
Les informer sur les actions faites en occident pour la défense de leur cause
(manifestations, actions des ONG, soutien des prisonniers politiques au Tibet,
pétitions envoyées au gouvernement chinois, actions menées par le groupe
parlementaire Tibet etc...). Leur montrer qu'il ne sont pas oubliés.
3) Faire un film sur la marche et les Tibétains
En effet, nous n’avons pu faire le film prévu sur la marche 2002. Et nous
comptons le réaliser en 2003 sur la marche et les Tibétains.
4) S'impliquer dans une expérience de fraternité entre
marcheurs
- s’aider mutuellement,
- recueillir les besoins des Tibétains et Zanskaris
- réaliser des actions humanitaires (l’action "fenêtres" à
destination des Zanskaris …).
2 – Les raisons de cette marche
La marche a pour but d’attirer l’attention des
instances internationales et du public sur :
l le développement d’une vaste
catastrophe écologique depuis 40 ans au Tibet
l la destruction du patrimoine
artistique et religieux du Tibet
l la disparition à court terme
(5 à 10 ans maximum) de la culture et de la langue tibétaines
l la colonisation économique par
les Chinois du Tibet depuis plus de 50 ans, au détriment de la population
tibétaine originelle.
l les moyens employés pour
réaliser cette colonisation, suscitant les préoccupations légitimes des
instances internationales au sujet des violations répétées des droits de
l’homme
2.1
Une catastrophe écologique
La destruction des forêts de l’Himalaya depuis
l’Antiquité est un phénomène connu des scientifiques. On a montré, notament
lors de fouilles archéologiques au Népal, que de nombreuses vallées
actuellement désertiques étaient couvertes de forêts au Moyen-Age. Mais, dans
le cas particulier du Tibet, grâce à l’influence de la philosophie bouddhiste
tantrique diffusée au niveau de toutes les couches de la société féodale depuis
le haut Moyen-Age, et à cause de certains tabous, une préoccupation de
préservation de la vie contribuait à la sauvegarde de la faune sauvage et des
forêts (lire « Sept ans au Tibet » d'Henrich Harrer).
Or, depuis l’invasion chinoise, une destruction accélérée de ces
forêts s’est mise en place et, en 1993, plus de 40% des forêts primaires
étaient rasées (hautes futaies). Elle a provoqué des crues dévastatrices des
fleuves au Bangladesh et en Chine et l’érosion irréversible des terres locales
(Tibet Environnement Développement, Eco-Tibet-France, 1993). 85 % à l'heure
actuelle.
Le Tibet est une région
essentiellement désertique ou steppique à l’écosystème fragile. Les expériences
agricoles désastreuses et non contrôlées, l’immigration massive des Chinois, la
chasse non contrôlée ont pour conséquence la destruction aussi de sa faune
rare : yacks sauvages, ânes sauvages, antilopes tibétaines, moutons
d’Argali, panthères et léopards des neiges, grues à cols noir …
L’exploitation
sans contrôle des richesses du sols (chromites, charbon, pétrole, plomb, zinc,
cuivre, or, uranium, lithium), jamais exploitées pendant des siècles par les
Tibétains à cause de tabous religieux, et le stockage, sans respect des règles
internationales, de déchets nucléaires militaires et civils ont des impacts sur
l’environnement, comme l’empoisonnement des rivières tibétaines et asiatiques
par les métaux lourds et la radioactivité. La découverte récente d’importants
gisement de pétroles au Tibet, exploités par BP et des immigrants chinois, font
craindre le pire.
2.2
Destruction du patrimoine artistique et religieux du Tibet
Avant 1949, le Tibet, un des
seuls régimes théocratiques du monde, était dominé par les autorités
religieuses du pays. Les monastères riches et puissants recelaient
d’extraordinaires trésors artistiques. Dès 1959, les Chinois ont fait fermer et
abandonner la plupart des sites religieux. Puis la révolution culturelle a
provoqué la destruction de plus de 6000 monastères, avec leur bibliothèques,
entraînant la destruction irréparable de toute l’histoire littéraire et
religieuse du Tibet.
Après 1979, la Chine a restauré 13 monastères et le Potala
(l’ancien siège du Dalaï-Lama), mais essentiellement pour des raisons
touristiques. Un grand nombre de fresques et d'œuvres artistiques ont disparu
et la plupart n’ont pu être reconstitués ou restaurés, du fait de la
disparition des moines artistes.
2.3
Disparition de la culture et de la langue tibétaines
80 % des Tibétains sont
illettrés. A l’école primaire, l’enseignement du tibétain est découragé et seul
le chinois est enseigné pour accéder aux études supérieures. Toutes les tâches
administratives sont en chinois. On a pu observer que les jeunes Tibétains
réfugiés récemment ne parlent que chinois ("Tibet en Exil, entre mythes et
réalités", Pierre-Yves Ginet, Editions Golias, 2000).
Le gouvernement chinois empêche toute possibilité d’apprendre le
bouddhisme, fondement de la société tibétaine. En 1999, à Lhassa, Chen Kuiyuan,
secrétaire du Parti Communiste au Tibet prétendait que « le bouddhisme est
une culture étrangère importée de l’Inde, et l’idée que la culture tibétaine
est bouddhiste constitue une absurdité », contredisant les 1000 ans de
présence du bouddhisme au Tibet.
La perte d’une langue est la perte d’une richesse pour le monde,
d’une autre façon de penser, d’une diversité de point de vue, et la perte d’une
conception différente de l’univers liée à cette langue.
2.4
La colonisation économique et démographique du Tibet par les
Chinois
Il est difficile, quand on parle
du Tibet, de ne pas aborder la délicate question de la politique. A l’image de
l’Ecole des guides de Lhassa, tous les postes clés des sociétés et
administrations tibétaines sont contrôlés par les Chinois. En raison de la
discrimination et de pots de vins, les élèves chinois sont favorisés pour les
études supérieures. La pauvreté ne cesse de s’accroître chez les Tibétains, et
le nombre déjà important de mendiants tibétains au Tibet ne cesse de
s’accroître dans Lhassa et les grandes villes. Les Chinois peuvent confisquer
les commerces des Tibétains, ou même les emplacements touristiques commerciaux
intéressants.
L’accès aux soins médicaux coûte cher pour les Tibétains, qui
doivent payer 800 à 1000 yuans pour entrer à l’hôpital, alors que les Chinois
bénéficient de la gratuité de ces services. Plus de 55% des enfants tibétains
souffrent de malnutrition, entraînant souvent des retards mentaux.
La Chine a procédé à d’importants transferts de population
chinoise qui, à la longue, ont fait des Tibétains une minorité dans leur propre
pays (Il y a aujourd'hui 5,8 millions de Tibétains contre 7,5 millions de
Chinois, alors qu'avant 1949 il y avait 7 millions de Tibétains pour 10000
Chinois).
Pendant ces transferts, les femmes tibétaines sont soumises à un
contrôle strict des naissances et sont parfois victimes de stérilisation
forcée.
3 – L’association Trans-Himalayenne
L’association Trans-Himalayenne, basée 16 rue Fontaine du But dans
le 18e arrondissement de Paris, est une association loi 1901 ayant
pour vocation d’aider le Tibet à travers des actions sportives, culturelles,
sociales et humanitaires.
Le bureau se compose de :
· Un président : M.
Benjamin Lisan, de nationalité française, responsable informatique, né le 9
juillet 1955 à Tananarive (Madagascar), demeurant au 16, rue de la fontaine du
but 75018 PARIS.
· Un vice-président : M.
Michel Assaillit, de nationalité française, accompagnateur en montagne, né le 19
octobre 1961 à Perpignan, demeurant à Le Plan Envers 74660 VALLORCINE.
· Un secrétaire général :
M. Philippe Mazière, de nationalité française, consultant indépendant,
demeurant au 3 rue Lecourbe, 75015 PARIS.
· Une trésorière : Mlle
Aurélie Nicolas, de nationalité française, journaliste, demeurant au 22 rue du chalet 92600 ASNIERES.
4 – L’organisation de la marche
Cette marche
regroupera 15 Occidentaux et peut-être 4 Tibétains, qui seront encadrés par
deux guides locaux. Nous nous engageons à faire travailler les populations locales
selon des règles d’échanges équitables.
L’accent sera porté sur la simplicité de l’organisation, la
solidarité, la fraternité, le faible coût de la marche afin de la rendre
réalisable, l’autonomie des marcheurs, l’aspect humanitaire et la sécurité de
l’expédition. L'organisation de la marche doit être un travail collectif et
solidaire, au niveau tibétain, comme avec les Occidentaux qui soutiendront ou
participeront à la marche.
D’un point de vue logistique,
il est prévu de désigner différents responsables qui auront pour charge de
veiller à :
l
la
trésorerie
l
les
relations avec les autorités
Les questions suivantes seront
de la responsabilité de l’agence de trek tibétaine de Manali Shangrila
Adventurers, celle que nous avons déjà choisie l’année dernière :
l le ravitaillement (achat de denrées, cuisine)
l l’hébergement
l le transport (location d’un ou deux 4x4 et de son/leur
conducteur(s), ravitaillement en essence, pièces de rechange du 4x4, une
vingtaine d’animaux de bâts _ chevaux)
l
la
sécurité et la propreté des sites
Il est également prévu qu’un médecin ou un infirmier participe à la
marche pour pouvoir encadrer les participants et s’occuper de la pharmacie (y
compris de la pharmacie vétérinaire).
La marche est
préparée par Benjamin LISAN,
coordinateur du projet côté français et Tsering DORJEE ayant une forte
expérience d’organisation de treks directeur de Shangrila Adventurers.
Le planning ci-après tient
compte des possibles retards ou changements de trajet.
l
1ER
JOUR : mardi 1 ou mercredi 2 juillet : départ en avion, le matin, de
Paris Roissy pour les marcheurs français ; arrivée la nuit à Delhi et nuit
à Majnu-Ka Tilla, quartier tibétain de Delhi.
l
2e
JOUR : 2 juillet, Repos ou tourisme à Delhi.
l
3e
JOUR : Jeudi 3 juillet : Repos ou tourisme à Delhi. Départ en bus à
18h de Majnu-Ka Tilla (Delhi) pour rejoindre Manali (15 heures de trajet ;
arrivée à 6h).
l
4e
JOUR : Vendredi 4 juillet : jour de repos à Manali et rencontre avec la communauté tibétaine de Manali.
l
5e
JOUR : Samedi 5 juillet : départ à 8h de Manali (1700 m), où on
prendra un bus pour Darsha. (arrivé à midi). Une demi-journée de repos.
De Darsha - Lamayuru :
6e au 24e JOUR : trek jusqu'à Lamayuru qui se déroule en deux
parties : après le passage du rugueux col du Shingola à près de 5 000 m,
resdescente dans la vallée du Zanskar et visite de ces merveilleux villages et
monastères (Mune et Phuktal) jusqu'à Padum, modeste "capitale" de ce
mini royaume. La seconde partie plus accidentée mais très spectaculaire gravit
trois cols à plus de 4 000 m avant de rejoindre le bassin du fleuve Indus.
6e JOUR : Darsha - Rarik -
Campement (4-5 h)
7e JOUR : Campement - Ramjak (6-7 h)
8e JOUR : Ramjak -
Shinkun-la - Camp de Gumburanjon (8-9 h)
9e JOUR : Camp de
Gumburanjon - Table (6 h)
10e JOUR : Table - Purne (6 h)
11e JOUR : Purne - Phuktal - Ichar (10 h)
12e JOUR : Ichar - Mune ou Bardan Gompa (5 ou 7 h)
13e JOUR : Mune ou Bardan Gompa
- Padum (3 ou 5 h)
14° JOUR : repos à Padum
15e JOUR : Padum - Karsha (2-3 h)
16e JOUR : Karsha - Pishu (5 h)
17e JOUR : Pishu - Hanumil (5 h)
18e JOUR : Hanumil Parfi-la - Snerte (6 h)
19e JOUR : Snertse - Hanuma-la - Lingshed (7
h)
20e JOUR : Lingshed - Pied du Sengge-la (6 h)
21e JOUR : Pied du Sengge-la - Sengge-la - Photoksar (7 h)
22e JOUR : Photoksar - Sirsir-la - Hanupatta (6 h)
23e JOUR : Hanupatta -
Wanla (5 h)
24e JOUR : Wanla - Lamayuru (3 h)
De Lamayuru à Leh
25e JOUR : arrivée à Lamayuru et continuation en car jusqu'à
Choglamsar ou Agling.
26e JOUR : repos et rencontre de la communauté tibétaine.
27e JOUR : matin : suite rencontre de la communauté tibétaine. APM
: visite de Leh.
28e JOUR : matin : marche symbolique avec les Tibétains d'Agling à
Leh.
APM : visite des
environs de Leh _ monastères de Shey, Thiksey et Hemis.
De Leh à Delhi
29e JOUR : vol Leh-Delhi.
30e JOUR : journée libre à Delhi.
31e JOUR : continuation sur Paris.
(pour 10 à 16 personnes).
LE PRIX COMPREND :
• le transport aérien Paris/Delhi A/R
• les transports Intérieurs en car et/ou avion (Delhi/Leh).
• l’hébergement en hôtel standard ou chez l’habitant (à Delhi,
Manali et Leh)
• l'organisation complète du trek avec portage des bagages (15 kg
par personne)
• le personnel d'accompagnement sur le trek:
les guides, les
cuisiniers, les muletiers ...
Il ne comprend pas :
• l’assurance • les pourboires
Note: les retours Leh-Delhi se font nécessairement en avion.
Cependant en fonction des aléas climatiques et opérationnels de
cette liaison,
un retour par la route peut être envisagé (le programme serait
écourté).
Budget estimé sur la base de 15 marcheurs et de 20
jours de marche (en € Euros), hors matériel
collectif et individuel. Ces montants
sont susceptibles d'être revus.
Budget par personne (TTC) pour la Transhimalayenne 2003
AVION
: 695 €
ou selon choix du participant
Trek (
20 jours) : 440 € (basé sur
le prix de 22 € par jour et par personne)
Dépenses
ors trek : 348
€
Sous
total
: 1483 €
Assurance
: 17 €
Equipement
spécifique ( tente) : 120 €
Total
: 1620 €
Que
chacun prévoit une marge de sécurité dans son budget personnel (par exemple 380
€ par personne) en cas d’accident ou pour toutes sortes de problèmes.
La
participation de marcheurs Tibétains :
Selon l’accord de la réunion Transhimalayenne 2003, du jeudi 6
mars à Paris :
« Chacun accepterait
une augmentation de 150 €
environ de son prix de trek pour pouvoir faire participer 2 à 4
Tibétains. Chacun essayera de trouver
des sponsors pour le financement de ces Tibétains. »
Verser 200 € d’arrhes pour la partie trek (pour éviter les désistements de dernière minute).
Etre en excellente santé physique et intellectuelle.
Etre entraîné sportivement et participer aux marches d’entraînement et de rencontre en France (2 marches sont prévues dans les Alpes françaises).
Selon les financements que nous récolterons, nous avons plusieurs projets.
Projet de film sur la marche :
Thèmes qui pourraient être traités :
Projets humanitaires :
Raymond LEGER s'associe cette année à la démarche culturelle de L’association Trans-Himalayenne pour la défense de la cause tibétaine. Dans
la vallée de la rivière Zanskar, au nord de l'Inde, les gens sont très
pauvres et ne peuvent jamais remplacer
leurs carreaux et vitres cassés. De ce fait, ils souffrent alors fortement du
froid l'hiver.
Il fournit à cette occasion du film technique solaire à titre
expérimental dans l'espoir d'apporter une solution simple et durable
Pour plus d’informationd rendez_vous sur son site : http://www.lacitedusoleil.com/
Projet film technique pour
les fenêtres des maison du Zanskar
Dans la vallée de la rivière Zanskar, au nord de l'Inde, les
gens sont très pauvres et ne peuvent
jamais remplacer leurs carreaux et vitres cassés. De ce fait, ils souffrent
alors fortement du froid l'hiver. Les températures sont très basses
l’hiver : -20 °C à –40 °C en hiver malgré un très fort ensoleillement,
très favorable au solaire. Dans ces région, il pleut très peu.
L'hiver, il y a des -40 °C, voir des tempêtes (avec parfois
de forts blizzards de neige).
Un
film à la résistance exceptionnelle _ une sorte de Mylar de 50 µ d’épaisseur,
très souple, fin, très résistant _ pourrait résoudre le bris fréquent de
carreaux en verre des maisons de ces régions. Ce film peut être aussi utilisé
pour les fours et panneaux solaires.
Ce
film a été entièrement financé par notre partenaire « Bienfaiteur »
TIBET CHANNEL
Projet de télévision satellite pour développer les
cultures tibétaines et les rendre extrêmement vivantes et faire une télévision
scolaire en Tibétain.
9 – Collaborer / aider notre
projet
Aider la Trans-Himalayenne, c’est associer votre nom ou votre
association à une action de solidarité à laquelle ne manqueront pas de faire
écho un large public.
Vous pouvez nous aider de différentes manières, en aidant à
réaliser :
· une campagne de presse engagée plusieurs mois avant la marche pour
annoncer l’événement et qui se prolongera tout au long de celui-ci. Une
recherche des journalistes et journaux susceptibles de soutenir la cause du
Tibet.
· un documentaire devant être réalisé pour la télé par un
journaliste-photographe qui participera à la marche. Nous recherchons deux caméramen _ si possible spécialistes du
numérique, dont l’un réalisateur _ et un preneur de son. TRES URGENT !
Nous leur financerons entièrement leur voyage. Ils
auront un salaire raisonnable mais correct.
· apporter un soutien financier ou une aide matérielle
technique (tentes, cordes …).
Le matériel recherché est décrit dans le "dossier du marcheur". Obtenir des sponsors. Vous
pouvez déjà cotiser à l’association. La cotisation annuelle à l’association est
de 20 € (euros) par an.
· obtenir des médicaments,
pour l’expédition et pour des dispensaires au Ladakh et Zanskar.
· obtenir un médecin ou
infirmier pour la marche.
· obtenir des affaires
scolaires ou des financements pour les écoles du Ladakh et Zanskar.
·
établir un lien permanent avec les autres associations tibétaines sur la
France, notamment la trentaine d'associations qui soutiennent aujourd’hui la
cause tibétaine en France et qui rassemblent près de 5000 adhérents. Et établir
un lien anglais permanent avec les principales associations tibétaines
en Inde (TYC, GU CHU SUM, Friend of Tibet …) et celles du monde.
· trouver un éditeur pour un journal de bord tenu tout au long de la
marche dans le but d’être publié à notre retour en France. Des contacts sont à
prendre avec certains éditeurs avant la marche.
… MERCI DE VOTRE AIDE.