LA TRANS-HIMALAYENNE TIBETAINE
Traversée
de l’Himalaya indien
du 15 juin au 3 août 2002, pour le soutien de la cause tibétaine
"
Se résigner,
c'est donner prime à la violence,
c'est tolérer l'intolérable,
se croiser les bras au
lieu de réagir
"
Tensin
Gyatso, 14e Dalaï-Lama
2/ Les raisons de cette marche
3/
L’association Trans-Himalayenne
4/
L’organisation de la marche
7/
Propositions de partenariats
Les milliers de témoignages sur
la situation passée et actuelle du Tibet ne peuvent que nous attrister ou nous
bouleverser. On découvre que ce qui se passe au Tibet est bien pire que ce qui
s’est passé au Timor Oriental, et ce malgré la chape de silence que la Chine
tente d’imposer sur le Tibet depuis son invasion en 1950.
Peut-on laisser disparaître une culture, dont le message principal était celui de la non-violence ? Peut-on accepter la transformation du Tibet en colonie chinoise, au détriment d'un peuple installé depuis plus de 1000 ans ? Comment tolérer la disparition, par la violence, d’1/6 de ce peuple entre 1950 et l’an 2000, sans aucune réaction internationale ? Non, nous ne pouvons nous y résigner, même si les Cassandre affirment que le Tibet est une cause perdue.
C'est pourquoi nous avons imaginé une
marche coup de cœur pour un peuple martyr.
Participant à la Transalpine
Tibétaine de l’été 2000, nous sommes plusieurs à vouloir renouveler
cette expérience dans l’Himalaya. Cette marche traversera l’ancien royaume
du Ladakh, au nord de l’Inde. Elle
témoignera et interpellera les médias sur la situation des droits de l'homme
au Tibet, la disparition des écosystèmes et de la faune de cette région, la
destruction d’un patrimoine millénaire, le pillage des richesses religieuses
et minérales.
La
marche est laïque et ne servira pas à la promotion du bouddhisme ou d’une
quelconque religion. Elle défend des valeurs républicaines (droit de
l’homme, droit des peuples à disposer d’eux-mêmes), des idées de
solidarité entre les hommes, de soutien à toute culture pacifique et
respectueuse des autres, de défense des écosystèmes en danger.
Le but de cette marche n’est pas
de battre des records. Au contraire, elle doit être un
lieu de rencontre, d’échange entre les marcheurs et les populations
rencontrées sur notre trajet.
La Trans-Himalayenne
Tibétaine partira le 15 juin 2002
de Dharamsala, passera par Manali et Yabook, pour arriver le 3
août à Leh. Elle est ouverte à des personnes de toute religion, de toute
race, de toute culture, motivées pour la
cause de la Paix, prêtes à affronter les éléments naturels (climat,
paysages escarpés), ayant l’esprit de solidarité, acceptant les règles de
vie, d’hygiène et les conditions géopolitiques du pays et des régions
traversés. Elle renouvellera l’expérience de fraternité de la Transalpine
Tibétaine. Elle témoignera de l’amitié et de la solidarité des hommes
avec les Tibétains. Ces marcheurs, limités à 24 pour des raisons de sécurité
(14 Occidentaux et 10 Tibétains), seront encadrés par deux guides locaux.
2 – Les raisons de cette
marche
La marche a pour but d’attirer l’attention des instances
internationales et du public sur :
-
le développement au Tibet depuis 40 ans d’une vaste catastrophe écologique
-
la destruction du patrimoine artistique et religieux
du Tibet
-
la disparition à court terme (5 à 10 ans maximum)
de la culture et de la langue tibétaines
-
la colonisation économique par les Chinois du Tibet
depuis plus de 50 ans, au détriment de la population tibétaine originelle.
-
les moyens employés pour réaliser cette
colonisation, suscitant les préoccupations légitimes des instances
internationales au sujet des violations répétées des droits de l’homme
2.1 Une catastrophe écologique
La destruction des forêts de l’Himalaya depuis l’Antiquité est un
phénomène connu des scientifiques. On a montré, notament lors de fouilles
archéologiques au Népal, que de nombreuses vallées actuellement désertiques
étaient couvertes de forêts au Moyen-Age. Mais, dans le cas particulier du
Tibet, grâce à l’influence de la philosophie bouddhiste tantrique diffusée
au niveau de toutes les couches de la société féodale depuis le haut
Moyen-Age, et à cause de certains tabous, une préoccupation de préservation
de la vie contribuait à la sauvegarde de la faune sauvage et des forêts (lire
« Sept ans au Tibet » d'Henrich Harrer).
Or,
depuis l’invasion chinoise, une destruction accélérée de ces forêts
s’est mise en place et, en 1993, plus de 40% des forêts primaires étaient
rasées (hautes futaies). Elle a provoqué des crues dévastatrices des fleuves
au Bangladesh et en Chine et l’érosion irréversible des terres locales
(Tibet Environnement Développement, Eco-Tibet-France, 1993).
Le
Tibet est une région essentiellement désertique ou steppique à l’écosystème
fragile. Les expériences agricoles désastreuses et non contrôlées,
l’immigration massive des Chinois, la chasse non contrôlée ont pour conséquence
la destruction aussi de sa faune rare : yacks sauvages, ânes sauvages,
antilopes tibétaines, moutons d’Argali, panthères et léopards des neiges,
grues à cols noir …
L’exploitation
sans contrôle des richesses du sols (chromites, charbon, pétrole, plomb, zinc,
cuivre, or, uranium, lithium), jamais exploitées pendant des siècles par les
Tibétains à cause de tabous religieux, et le stockage, sans respect des règles
internationales, de déchets nucléaires militaires et civils ont des impacts
sur l’environnement, comme l’empoisonnement des rivières tibétaines et
asiatiques par les métaux lourds et la radioactivité. La découverte récente
d’importants gisement de pétroles au Tibet, exploités par BP et des
immigrants chinois, font craindre le pire.
2.2 Destruction du patrimoine artistique et religieux du Tibet
Avant
1949, le Tibet, un des seuls régimes théocratiques du monde, était dominé
par les autorités religieuses du pays. Les monastères riches et puissants
recelaient d’extraordinaires trésors artistiques. Dès 1959, les Chinois ont
fait fermer et abandonner la plupart des sites religieux. Puis la révolution
culturelle a provoqué la destruction de plus de 6000 monastères, avec leur
bibliothèques, entraînant la destruction irréparable de toute l’histoire
littéraire et religieuse du Tibet.
Après
1979, la Chine a restauré 13 monastères et le Potala (l’ancien siège du
Dalaï-Lama), mais essentiellement pour des raisons touristiques. Un grand
nombre de fresques et d'œuvres artistiques ont disparu et la plupart n’ont pu
être reconstitués ou restaurés, du fait de la disparition des moines
artistes.
2.3 Disparition de la culture et de la langue tibétaines
80
% des Tibétains sont illettrés. A l’école primaire, l’enseignement du tibétain
est découragé et seul le chinois est enseigné pour accéder aux études supérieures.
Toutes les tâches administratives sont en chinois. On a pu observé que les
jeunes Tibétains réfugiés récemment ne parlent que chinois ("Tibet en
Exil, entre mythes et réalités", Pierre-Yves Ginet, Editions Golias,
2000).
Le
gouvernement chinois empêche toute possibilité d’apprendre le bouddhisme,
fondement de la société tibétaine. En 1999, à Lhassa, Chen Kuiyuan, secrétaire
du Parti Communiste au Tibet prétendait que « le bouddhisme est une
culture étrangère importée de l’Inde, et l’idée que la culture tibétaine
est bouddhiste constitue une absurdité », contredisant les 1000 ans de présence
du bouddhisme au Tibet.
La
perte d’une langue est la perte d’une richesse pour le monde, d’une autre
façon de penser, d’une diversité de point de vue, et la perte d’une
conception différente de l’univers liée à cette langue.
2.4 La colonisation économique et démographique du Tibet par les
Chinois
Il
est difficile, quand on parle du Tibet, de ne pas aborder la délicate question
de la politique. A l’image de l’Ecole des guides de Lhassa, tous les postes
clés des sociétés et administrations tibétaines sont contrôlés par les
Chinois. En raison de la discrimination et de pots de vins, les élèves chinois
sont favorisés pour les études supérieures. La pauvreté ne cesse de
s’accroître chez les Tibétains, et le nombre déjà importants de mendiants
tibétains au Tibet ne cesse de s’accroître dans Lhassa et les grandes
villes. Les Chinois peuvent confisquer les commerces des Tibétains, ou même
les emplacements touristiques commerciaux intéressants.
L’accès
aux soins médicaux coûte cher pour les Tibétains, qui doivent payer 800 à
1000 yuans pour entrer à l’hôpital, alors que les Chinois bénéficient de
la gratuité de ces services. Plus de 55% des enfants tibétains souffrent de
malnutrition, entraînant souvent des retards mentaux.
La
Chine a procédé à d’importants transferts de population chinoise qui, à la
longue, ont fait des Tibétains une minorité dans leur propre pays. Il y a
aujourd'hui 5,8 millions de Tibétains contre 7,5 millions de Chinois, alors
qu'avant 1949 il y avait 7 millions de Tibétains pour 10000 Chinois).
Pendant
ces transferts, les femmes tibétaines sont soumises à un contrôle strict des
naissances et sont parfois victimes de stérilisation forcée.
3 – L’association
Trans-Himalayenne
L’association
Trans-Himalayenne, basée 16 rue Fontaine du But dans le 18e
arrondissement de Paris, est une association loi 1901 ayant pour vocation
d’aider le Tibet à travers des actions sportives, culturelles, sociales et
humanitaires.
Composition du bureau:
M. Benjamin
LISAN, de
nationalité française, responsable informatique, né le 9 juillet 1955 à
Tananarive (Madagascar), demeurant au 16, rue de la fontaine du but 75018 PARIS.
· Président adjoint :
M. Michel GIGNOUX, de nationalité française, retraité, né le 6 février
1936 à la Havane (CUBA), demeurant à la Charrière Froide 38760 SAINT PAUL DE
VARCES.
· Vice-président :
M. Michel ASSAILLIT, de
nationalité française, guide de montagnes, né le 19 octobre 1961 à
Perpignan, demeurant à Le Plan Envers 74660 VALLORCINE.
· Secrétaire général :
M. Alexandre BELLE,
de nationalité française, étudiant, né le 13 avril 1976 à Suresnes (92),
demeurant au 24 rue des Tennis 75018 PARIS.
· Trésorière :
Mme Suzanne CHASSEUIL, de
nationalité française, retraitée, née le 24 avril 1938 à Paris, demeurant
au 3 rue Bizet 91240 SAINT MICHEL SUR ORGES.
4
– L’organisation de la marche
Cette
marche regroupera 24 marcheurs, 14 Occidentaux et 10 Tibétains, qui seront
encadrés par deux guides locaux. Nous nous engageons à faire travailler les
populations locales selon des règles d’échanges équitables.
L’accent
sera porté sur la simplicité de l’organisation, la solidarité, la fraternité,
le faible coût de la marche afin de la rendre réalisable, l’autonomie des
marcheurs, l’aspect humanitaire et la sécurité de l’expédition.
L'organisation de la marche doit être un travail collectif et solidaire, au
niveau tibétain, comme avec les Occidentaux qui soutiendront ou participeront
à la marche.
D’un
point de vue logistique, il est prévu
de désigner différents responsables qui auront pour charge de veiller à :
la trésorerie
les relations avec les ambassades des pays traversés
le ravitaillement (achat de denrées, cuisine)
l’hébergement
le transport (location de camions tout-terrain et de 4x4, conducteurs,
ravitaillement en essence, pièces de rechange, animaux de bâts)
la sécurité
et la propreté des sites
Il
est également prévu qu’un médecin
ou un infirmier participe à la marche pour pouvoir encadrer les participants et
s’occuper de la pharmacie (y compris de la pharmacie vétérinaire).
La marche est préparée par Sonam
DHONDUP, coordinateur du projet côté indien. La route relie la très
fertile vallée de Kullu à la région aride et escarpée du Ladakh, uniquement
accessible par la route, à partir du Kashmir. Nichée au pied des sommets
enneigés, Dharamsala, la ville de départ, est le siège du Gouvernement tibétain
en exil. Le quartier général en exercice du Gouvernement se situe à Gangchen
Kyishong, à environ 4 km au nord de Dharamsala.
MERCREDI
12 JUIN : départ en avion, le matin, de Paris Roissy pour les
marcheurs français ; arrivée le soir à Delhi et nuit à Manuju-Ka Tilla,
quartier tibétain de Delhi.
JEUDI 13 JUIN : départ en bus à 6h de Manuju-Ka Tilla (Delhi) pour
rejoindre Dharamsala (15 heures de trajet ; arrivée à 22h).
VENDREDI 14 JUIN : jour de repos à Dharamsala.
SAMEDI 15
JUIN : départ à 8h de Dharamsala (1357 m), où on prendra un
bus pour Sidbari. Visite du monastère de Gyuto, siège du Karmapa. Bus de
Sidbari à Palampur (arrivée vers 18h). Repos au monastère de Sherab ling,
dirigé par Taï Sitou Rinpoché.
Le
planning ci-après tient compte des possibles retards ou changements de trajet.
repos
marche
Jour 1/5 – Journée de repos à Bir et visite du monastère.
Jour 2/6 – Marche de Bir à Billing (2600 m) ;
5h
Jour 3/7 – Marche de Billing à Palchak ;
6h
Jour 5/9 – Marche de Panihartu à Marh et passage de la Thamser Pass (4700 m) ;
7h
Jour 6/10 – Marche de Marh à Bara Bhangal (2540 m) ;
5h
Jour 7/11 – Journée de repos à Bara Bhangal
Jour 8/12 – Marche de Bara Bhangal à Dalmarh ;
6h
Jour 10/14 – Marche de Lambapar à Danko thach ;
7h
Jour 11/15 – Marche de Danko thach à Shangor et passage de la Kalihani Pass
(4600m) ;
7h
Jour 12/16 – Marche de Shangor à Riyali ;
5h
Jour 13/17 – Marche de Riyali à Manali ;
8h
Jour 14/18 – Journée de repos à Manali
Jour 15/19 – Marche de Manali à Kothi (2455 m) ;
6h.
Jour 16/20 – Marche de Kothi à Gramphu et passage de la Rohtan Pass (3978 m) ;
7h
Jour 17/21 – Marche de Gramphu à Chatru (3340 m) ;
6h
Jour 18/22 – Marche de Chatru à Chota Dara (3800 m) ;
6h
Jour 19/23 – Marche de Chota Dara à Batal (4030 m) ;
7h
Jour 20/24 – Marche de Batal au lac Chandratal et passage de la Kuzom Pass
(4551 m)
Jour 21/25 – Journée de repos au lac Chandratal
Jour 22/26 – Marche du lac Chandratal à la rivière Tokpo Yongma (4400 m) ;
7h
Jour 23/27 – Marche de la rivière Tokpo Yongma à la rivière Tokpo Gongma
(4700 m) ;
7h
Jour 24/28 – Marche de Tokpo Gongma à la Baralacha Pass (4890 m) ;
6h
Jour 25/29 – Marche de Baralacha Pass à Kelang Sarai (4600 m) ;
5h
Jour 26/30 – Marche de Kelang Sarai à Sarchu (4253 m) ;7h
Jour 27/31 – Marche de Sarchu à Brandy Nallah / Takh (3950 m) ;
7h
Jour 28/32 – Marche de Brandy Nallah /Takh à Tso Mesik ;
6h
Jour 29/33 – Marche de Tso Mesik au camp de base de la Morang La ;
6h
Jour 30/34 – Marche du camp de base de la Morang La (5300m) à Lun / Yabook ;
6h
Jour 31/35 – Journée de repos à Yabook
Jour 32/36 – Marche de Yabook à Lungmo Che (4550m) ; 6h
Jour 33/37 – Marche de Lungmo Che à Dat (4200m) ; 6-7h
Jour 34/38 – Marche de Dat à Sorra (4200m) ; 6h
Jour 35/39 – Marche de Sorra à Lang Thang Chu et passage à Zalung Karpo La
(5100 m) ; 6h
Jour 36/40 – Marche de Lang Thang Chu à Hankar Sumdo (4460m) ; 6-7h
Jour 37/41 – Marche de Hankar
Sumdo à Nimaling (5100m) ; 5-6h
Jour 38/42 – Journée de repos à Nimaling
Jour 39/43 – Marche de Nimaling à Shang Sumdo et passage à Kong Maru La
(5150m) ; 7h
Jour 40/44 – Marche de Sang Sumdo à Hemis ; 6h
Jour 41/45 – Marche de Hemis à Thiksey ; 6-7h
Jour 42/46 – Marche de Thiksey à Choglamsar ; 6h
Jour 43/47 – Journée de repos à Choglamsar et visite du monastère Spituk et
du camp tibétain d’Agling
Jour 44/48 – Marche de Choglamsar à Leh (3523m) ; 1h. Ascension pour les
plus courageux du col de Khardung La (5602 m), situé à 25 km de Leh. Pose du
drapeau tibétain au col (si on manque de temps, on ira en bus). Repos pour les
autres
Jour 45/49 – Descente du col. Repos et visite pour les autres
Jour 46/50 – Bus de Leh à Manali
Jour 47/51 – Journée de repos à la Central Tibetan School de Manali
Jour 48/52 – Journée de repos à Manali
Jour 49/53 - Bus de Manali à Delhi, nuit à l’hôtel Potola (Manuju-ka Tilla)
Jour 50/54 - Retour en France en avion
Budget
estimé sur la base de 24 à 30 marcheurs
et de 45 à 50 jours de marche (en € Euros), hors matériel collectif et individuel.
Ces montants sont susceptibles d'être revus.
6.1
Transport
1 ) Taxi de l’aéroport à l’hôtel Potala (Manuju-ka Tilla, Delhi)
122 €
(800 FF)
2 ) Bus de Delhi à Dharamsala
412 € (2700 FF)
3 ) Bus Delux de Dharamsala à Bir
427 € (2800 FF)
4 ) Camion de Bir à Manali, avec bagage, nourriture, équipement
610 €
(4000 FF)
5 ) Taxi/jeep/camion de Manali à Leh (nourriture et équipement)
503 €
(3300 FF)
6 ) Taxi d’urgence
305 €
(2000 FF)
7 ) Bus de Leh à Manali
823 € (5400 FF)
8 ) Bus de Manali à Delhi
412 € (2700 FF)
9 ) Dépenses non prévues
381 €
(2500 FF)
Budget
total des transports en Inde (30 marcheurs)
3933 €
(25800 FF)
6.2
Hébergement
1
Delhi (1 jour)
381 €
(2500 FF)
2
Dharamsala (2 jours)
686 €
(4500 FF)
3
Bir (2 nuits)
152 €
(1000 FF)
4
Manali (2 jours)
762 €
(5000 FF)
5
Leh (2 jours)
839 €
(5500 FF)
6
Dépenses non prévues
183 €
(1200 FF)
Budget
total pour l’hébergement (30 marcheurs)
3049 €
(20000 FF)
6.3
Ravitaillement
1
Mules (location de 15 mules pour 50 jours) 7620 €
(50000 FF)
2
Nourriture
1143 €
(75000 FF)
3
Personnel (2 guides, 1 cuisinier, 1 muletier) 5031 €
(33000 FF)
4
Dépenses non prévues
229 € (1500 FF)
Budget
total pour le ravitaillement
24849 € (163000 FF)
Budget total de la marche 31862 € (209000 FF)
Budget
total par personne (sur la base de 30 marcheurs)
1022 € (6700 FF)
maximum : 1372 € (9000 FF) par marcheurs
Pour les occidentaux, avion
Paris-Delhi A/R par personne
610 €
(4000 FF)
Budget
total par personne, avion compris, pour les occidentaux 1555 €
(10200 FF)
maximum
: 1982 € (13000 FF) par marcheurs
Budget
vidéo : 3050 € (20000 FF)
7 – Propositions de partenariats
Aider
la Trans-Himalayenne, c’est associer votre nom à une action de solidarité à
laquelle ne manqueront pas de faire écho un large public, notamment la
trentaine d'associations qui soutiennent aujourd’hui la cause tibétaine en
France et qui rassemblent près de 5000 adhérents.
7.1 Des supports de communication variés
En
soutenant la Trans-Himalayenne, vous profiterez de supports de communication
variés pour véhiculer l’image de votre entreprise. Le but de cette marche étant
d’attirer l’attention du public et des autorités internationales sur ce
qu’il se passe aujourd’hui au Tibet, de nombreuses démarches seront faites
auprès des médias (presse, radio et TV) :
·
Un site Web, actuellement en cours de
réalisation, sera consacré à la Trans-Himalayenne et fera le point sur le déroulement
de la marche.
·
Une importante campagne
de presse sera engagée plusieurs mois avant la marche pour annoncer l’événement
et se prolongera tout au long de celui-ci.
·
Un documentaire sera réalisé pour
la télé par un journaliste-photographe qui participera à la marche.
·
Un journal de bord sera tenu tout au
long de la marche dans le but d’être publié à notre retour en France. Des
contacts ont d’ores et déjà été pris avec certains éditeurs.
7.2 Diverses formules de participation
Il
existe différentes formules de participation et nous sommes prêts à
rencontrer chaque partenaire de manière à saisir ses attentes et prendre en
compte ses propositions.
·
Un soutien financier est activement
recherché par les organisateurs de la marche.
·
Il est également possible d’apporter une collaboration technique, notamment par l’apport d’une partie du
matériel requis pour ce type d’expédition. Cette marche de deux mois dans
des conditions climatiques assez rudes nécessite un matériel de grande qualité.
Exemples
de formules d'échanges :
Ø
Pose du logo de la marque sur tout équipement fournis et utilisés
durant la marche,
Ø
Test du matériel fourni par le sponsor, en condition éprouvante, durant
la marche,
Ø
Nom du sponsors cité dans le documentaire diffusé après la marche,
Ø
Nom du sponsors cité dans le livre édité après la marche,
Ø
Nom du sponsors au niveau des affiches lors des conférences présentant
la marche,
Ø
Nom du sponsors dans le dossier de presse,
Ø
Nom du sponsors cité lors des émissions radio (avant / après la
marche),
Ø
Nom du sponsors cité lors des émissions TV (avant / après la marche),
Ø
Nom du sponsors cité dans les articles parus dans les journaux après la
marche, etc.
Ø
Tester le matériel de certains sociétés durant la marche. (Voir liste
des fournisseurs de matériels dans le "dossier sponsoring de la
marche").